L’accompagnant, dans un profond respect, se met à la disposition de la personne qu’il accompagne en quittant l’espace du mental pour rejoindre l’espace du cœur.
Par un accompagnement du geste au-dessus d’un clavier d’ordinateur, émerge l’expression d’une part de nous-même à laquelle nous n’avons habituellement pas accès.
L’accompagnant devient récepteur de la conscience de l’accompagné.
Le soutien de la main contribue à établir un contact avec le centre du cœur. Ce contact n’est pas divisé, il est relié, interdépendant.
A travers la CPA, au-delà des souffrances traversées, les mots parlent de l’Etre.